À quel âge commence-t-on réellement à vivre?
Les avis diffèrent sur cette question.
La réponse la plus simple serait sûrement dès notre naissance.
Mais pour certains, on parle alors d'existence et non de vie.
Combien de fois ai-je entendu cette phrase lourde de sens : " J'ai commencé à vivre lorsque...."
Si ce n'est pas le moment de notre premier souffle, alors quel est-il?
Le moment du premier amour? De la naissance des enfants? Du vrai amour? Du dernier?
De la certitude que l'on a enfin trouvé notre place dans le monde?
Que l'on sait pourquoi on est là? Ce qu'on y fait?
Avez-vous commencé à vivre? Il est peut-être temps que vous vous y mettiez, et moi aussi.
Les avis diffèrent sur cette question.
La réponse la plus simple serait sûrement dès notre naissance.
Mais pour certains, on parle alors d'existence et non de vie.
Combien de fois ai-je entendu cette phrase lourde de sens : " J'ai commencé à vivre lorsque...."
Si ce n'est pas le moment de notre premier souffle, alors quel est-il?
Le moment du premier amour? De la naissance des enfants? Du vrai amour? Du dernier?
De la certitude que l'on a enfin trouvé notre place dans le monde?
Que l'on sait pourquoi on est là? Ce qu'on y fait?
Avez-vous commencé à vivre? Il est peut-être temps que vous vous y mettiez, et moi aussi.
7 commentaires:
il y a des gens qui même une fois è l'âge adulte ne vivent même pas parce que la vrai questions c'est quoi vivre ...... est ce que c'est d'avoir des rêves
Bibcoquette, moi j'ai commencé à vivre le jour ou j'ai arrêté de me demander si je vivais...:-)
ouais, pilote automatique quoi! Faudrait pour ça que je mette mon gros moi à off! Je dois avoir encore trop de temps libre pour réfléchir.
Non, pas pilote automatique, c'est très différent. Vivre ne nous empêche pas de réfléchir, au contraire! Mais on peut réfléchir sans psychodrame, sans torture, sans déchirements intérieurs. Et la sensation de vivre n'en est pas amoindrie, parole de chroniqueusedupatio!
Oh, quelle grande question... Pour ma part, j'ai instinctivement compris, dès mes premières minutes de vie, qu'elle avait du prix, la vie, qu'il me fallait me battre pour la conserver. C'est inscrit en grosses lettres dans mon code génétique, j'en suis sûre. J'ai donc commencé à découvrir, ressentir, goûter, toucher, vivre... au premier jour de ma naissance.
À l'âge de 27 ans, j'ai ressenti une plus grande urgence de vivre encore. À 39 ans aussi. D'être confronté à sa propre mort donne du prix à la vie et le désir de n'en perdre aucune seconde, aucune minute.
La vie aurait-elle un prix? Il semble que ce soit en payant la facture que l'on prenne conscience de sa valeur. On dirait même que plus on paie cher, plus on l'apprécie.
Accent Grave
Vos réponses sont toutes tellement sensées et vraies. À relire lors des journée d'affaissement moral.
Merci!
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