samedi 12 juin 2010

Ici et là

Le Yémen marie les petites filles aux hommes adultes, c'est permis. Je croyais la pédophilie une maladie, mais comment croire que tous ces hommes qui s'achètent une petite fille le soient?
Ça me rend confuse, pas vous?
Un homme serait pédophile ici mais époux là-bas. Un homme pédophile ici aurait dû naître ailleurs. Guy Cloutier aurait pu déménager dans un village de là-bas au lieu d'essayer de s'en créer un au Québec, on ne l'aurait pas inquiété.
Ces hommes qui préfèrent épouser une petite fille de 10 ans, la violer et la battre, sont-ils tous fous?
Est-ce qu'une telle attirance ne serait due qu'à une culture différente? Ce serait horrible de croire que oui.
Cela voudrait dire qu'un tel besoin se développe dépendamment du lieu où l'on vit? Comme le goût des épices?
On ne peut développer que ce qui est déjà là.
C'est ça qui me rend confuse.
Je n'ai pas de réponse à ça, rien que d'autres questions que je n'aime pas me poser.

vendredi 4 juin 2010

Qui ne la trouve pas cute!



http://www.youtube.com/watch?v=swtmv_2RnbU&playnext_from=TL&videos=qeIBeG_8Owo&feature=featured

mercredi 2 juin 2010

The road version bibco

Je suis un prof réputée pour sa patience et sa bonne humeur; c'est pas de la vantardise, c'est l'intro essentielle à mon propos. Celui-ci par contre est apocalyptique.
"Les chaudrons et les casseroles qui sont sur la route, sur deux ou quatre roues".
Je suis devenue impatiente, colérique et surtout, agressive dans cette quotidienne traversée que j'affronte chaque jour.
J'en ai contre ceux qui se foutent avec passion des straight comme moi qui croient que le code de la route a été inventé pour les oiseaux migrateurs.
J'en ai contre les épais qui coupent, qui sont incapables d'attendre dans la bonne file et te chipent ta patience qui devient aussi mince que peau de chagrin.
J'en ai contre les vélos et leur chevaucheur qui croient que stop veut dire : "Automobiles polluantes arrêtez-vous! Voici les pures écos cyclistes qui s'avancent"
Nenon mon brave, la route c'est pour tout le monde; AUTOMOBILISTES COMPRIS.
Deux fois par mois, sans exagérer, j'évite de justesse un cycliste, je lui en veux et je le déteste et j'arrive à la maison en beau fusil. Prête à tirer même.
Même chose pour les chaudrons à moteur je le répète.
Bref, un jour, je militerai pour le port d'arme au volant. Avec rage.