vendredi 12 juin 2009
La grippe
Nous sommmes en pandémie. Je ne peux m'empêcher de repenser à un certain livre écrit par Stephen King: le fléau. Vous l'avez lu?
mercredi 10 juin 2009
saga enseignante
Victoire! Test SEL passé avec un certain succès! Une autre étape de franchie vers le poste à poste.
La vie me va mieux tout à coup.
La vie me va mieux tout à coup.
mardi 9 juin 2009
Des nouvelles de ma saga? Je n'ai pas pu reprendre mon poste même si deux désistements y ont été enregistrés. Deux jeunes enseignants d'une école d'ailleurs avec plus d'heures travaillées que moi m'ont soufflé mon poste.
Out bib. Vive le beau système!
Je me suis retrouvée dans une autre école avec l'espoir que ce poste à poste fonctionne...
Je vais vider ma classe, je ne laisse rien, même pas les beaux autocollants ADzif que j'avais achetés pour les fenêtres. Je préfère les déchirer plutôt que les laisser.
Aigrie? You bet.
Pas la faute de personne, surtout pas la mienne.
Mais je ne me sens pas l'âme charitable ni généreuse. Surtout pas généreuse. Dire que c'était mon poste, même permanente, on n'est pas à l'abri des déplacements sauvages.
Cette situation aura au moins l'avantage de m'avoir poussé à demandé un poste à poste afin de me rapprocher de mon domicile. Là aussi les choses bougent, mes collègues "échangistes" ont tous les deux eu leur entrevue à leur "possible future nouvelle commission scolaire". Moi il me manque un papier...
Je vais passer un nouveau test de français, on verra si je sais écrire. On l'exige à la mienne de "possible future commission scolaire".
À part le test de français, les examens du ministère, ma maison à paqueter, ma classe à paqueter, la maison de là-bas à préparer, ça peut aller.
Il ne fait pas trop chaud, c'est toujours ça de pris.
Voilà, les nouvelles seront ou pires ou meilleures, on verra!
Out bib. Vive le beau système!
Je me suis retrouvée dans une autre école avec l'espoir que ce poste à poste fonctionne...
Je vais vider ma classe, je ne laisse rien, même pas les beaux autocollants ADzif que j'avais achetés pour les fenêtres. Je préfère les déchirer plutôt que les laisser.
Aigrie? You bet.
Pas la faute de personne, surtout pas la mienne.
Mais je ne me sens pas l'âme charitable ni généreuse. Surtout pas généreuse. Dire que c'était mon poste, même permanente, on n'est pas à l'abri des déplacements sauvages.
Cette situation aura au moins l'avantage de m'avoir poussé à demandé un poste à poste afin de me rapprocher de mon domicile. Là aussi les choses bougent, mes collègues "échangistes" ont tous les deux eu leur entrevue à leur "possible future nouvelle commission scolaire". Moi il me manque un papier...
Je vais passer un nouveau test de français, on verra si je sais écrire. On l'exige à la mienne de "possible future commission scolaire".
À part le test de français, les examens du ministère, ma maison à paqueter, ma classe à paqueter, la maison de là-bas à préparer, ça peut aller.
Il ne fait pas trop chaud, c'est toujours ça de pris.
Voilà, les nouvelles seront ou pires ou meilleures, on verra!
mardi 2 juin 2009
Grrr...
Ce matin je suis vraiment déconnectée, énergie zéro, batterie de cerveau morte, câbles à booster trop courts pour se rendre.
Hier j'ai eu mon infection, oups, pardon, affectation, pour me faire remettre sur une tablette d'une nouvelle école. Ce système à la con où un prof (moi) en service depuis 3 ans à la même école se fait dire qu'elle est en surplus, se voit assigner à une affectation bidon où deux étrangers te reprennent ton poste + un autre qui était libre lui aussi sans que tu ne puisses rien y faire me dégoûte.
Bref, je me sens comme une rien du tout ce matin.
Heureusement j'ai pu me rabattre sur une école où j'ai déjà eu un contrat, les gens étaient aimables, je m'y étais fait de bonnes relations. J'espère plus que jamais que mon poste à poste fonctionne et que je me rapproche de ma maison. Parce que je ne me fais pas d'illusion, là-bas aussi je ne serai qu'un pion du système qu'on n'hésite pas à bouger pour jouer le jeu.
Les gens qui ont pris les deux postes à mon école savaient bien que j'étais en surplus, c'était écrit au bout de mon nom. Z'ont pas hésité deux secondes à prendre ma place. M'en fous que ce soit le système qui veut ça, le système on embarque ou pas.
Bref, j'ai tourné toute la nuit. L'amertume est dure sur le sommeil.
Si j'avais une chance de sortir de l'enseignement je la prendrais à deux mains.
M'enfin, un jour je vais aller aider le docteur Julien, c'est le seul encouragement qui me permette de continuer. Travailler pour le bien des enfants et non pour une machine servant à engraisser les fonctionnaires à coups de réforme mal administrée, de règles mal foutues et d'un programme irréaliste que personne n'arrive à appliquer vraiment et qu'on fait semblant de suivre avec un petit sourire en coin .
Hier j'ai eu mon infection, oups, pardon, affectation, pour me faire remettre sur une tablette d'une nouvelle école. Ce système à la con où un prof (moi) en service depuis 3 ans à la même école se fait dire qu'elle est en surplus, se voit assigner à une affectation bidon où deux étrangers te reprennent ton poste + un autre qui était libre lui aussi sans que tu ne puisses rien y faire me dégoûte.
Bref, je me sens comme une rien du tout ce matin.
Heureusement j'ai pu me rabattre sur une école où j'ai déjà eu un contrat, les gens étaient aimables, je m'y étais fait de bonnes relations. J'espère plus que jamais que mon poste à poste fonctionne et que je me rapproche de ma maison. Parce que je ne me fais pas d'illusion, là-bas aussi je ne serai qu'un pion du système qu'on n'hésite pas à bouger pour jouer le jeu.
Les gens qui ont pris les deux postes à mon école savaient bien que j'étais en surplus, c'était écrit au bout de mon nom. Z'ont pas hésité deux secondes à prendre ma place. M'en fous que ce soit le système qui veut ça, le système on embarque ou pas.
Bref, j'ai tourné toute la nuit. L'amertume est dure sur le sommeil.
Si j'avais une chance de sortir de l'enseignement je la prendrais à deux mains.
M'enfin, un jour je vais aller aider le docteur Julien, c'est le seul encouragement qui me permette de continuer. Travailler pour le bien des enfants et non pour une machine servant à engraisser les fonctionnaires à coups de réforme mal administrée, de règles mal foutues et d'un programme irréaliste que personne n'arrive à appliquer vraiment et qu'on fait semblant de suivre avec un petit sourire en coin .
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