Les carnets de Bibco. Ce pourrait être mon nouveau titre.
J'y parlerais de quoi? De ce que j'aime, de ce qui m'arrive, au travail, dans ma vie.
Pourquoi j'irais raconter ça à des gens que je ne connais ni d'Ève ni d'Adam? Parce que je m'imagine maintenant que mon blogue c'est mon muse.
Pourquoi pas? Des hommes célèbres ont eu une muse. Moi je veux un muse. J'aimerais mieux un vrai garçon, du genre plutôt célibataire, mais Dieu qu'ils sont difficiles à trouver! (Si vous en connaissez faites moi signe) Donc, à défaut de garçon, je vais m'inventer un muse.
Il va me rendre belle, spirituelle, lumineuse et surtout, tellement intéressante!
J'espère que vous ne vous sentirez pas mis de côté si je m'adresse à lui plutôt qu'à vous, il me faut entrer dans le jeu totalement si je veux que ça fonctionne.
Je me sens plus émoustillée de raconter ma vie à un muse qu'à un journal. Au moins le muse, je peux l'imaginer m'écouter blablater un verre de vin à la main, ses yeux profonds plongés dans les miens. Vous voyez un journal vous donner du feedback comme ça? Jamais vu.
J'ai mis un peu de truc qui sent bon. Polo, la bouteille rouge et bleu. Je m'en suis mis sur les mains, comme ça quand mes doigts cliquettent sur le clavier, ça sent bon.
Voilà, il est prêt. Je l'avise qu'il commence demain. Il a hâte qu'il dit :-)
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