dimanche 1 juin 2008

Lars et l'amour en boîte*lien*

L'histoire de Lars, ce gars qui a tellement peur d'aimer et d'être aimé qui se commande une poupée gonflable sur le net. Tout dans ce film m'a ému.
Les personnages, les femmes en particulier, habillées pour la plupart comme ce que plusieurs qualifieraient de chienne à Jacques...et pourtant...sous leur tricot et leurs chandails en coton ouaté se cache toute la sagesse du monde.
La bonté d'un village, la simplicité d'une vie modeste.
Peut-être parce que je viens d'un endroit un peu comme ça...ou que j'en rêve. Peut-être parce que la solitude me tue tranquillement.
J'aimerais faire ma valise et rentrer dans ce film. Comme ça.

9 commentaires:

Catherine a dit…

C'est très rigolo.. Hier, mon copain et moi nous cherchions un film à écouter. Nous avions lu le synopsis de ce film, mais ça ne nous disait rien...

Après cette critique, je vais certainement y jeter un oeil!

bibconfidences a dit…

Hum...j'suis pas certaine que ça arrache une larme à tout le monde par contre!

Gooba a dit…

Effectivement, c'est un bon film. Savoureux.

Gooba a dit…

Effectivement, c'est un bon film. Savoureux.

Zoreilles a dit…

Tu me donnes envie de voir ce film!

bibconfidences a dit…

Tu auras plus de chance à la location Zoreilles! Gooba, ça me rassure que quelqu'un soit de mon avis, la critique n'était pas chaude, chaude, moi je vais le réécouter...

Gooba a dit…

J'suis tellement convaincue que je l'ai écrit deux fois plutôt qu'une! :o))

Catherine a dit…

Je viens tout juste de voir le film. J'ai apprécié le film, mais tu vois, ce n'est pas tout à fait les mêmes choses qui sont venues me toucher!

L'appui du village et de la famille de Lars est vraiment quelque chose. Mon copain et moi se demandions comment nous aurions réagi devant une pareille situation. Il me faisait remarquer que les femmes avaient beaucoup plus de facilité à entrer "en contact" avec Bianca.

J'ai bien aimé le passage de la conversation entre les deux frères, concernant le fait de savoir quand est-ce que tu es rendu un homme. Je me suis passé le même questionnement ensuite, conernant la femme. Quand sait-on que nous en sommes une?

Dans tes derniers billets, tu parles de l'hypersexualisation. Ce film est vraiment le contraire de ça. Ce n'est pas des scènes de copulence qu'on y voit, mais une toute simple poignée de main.

Dire qu'il y a des gens, tout près, qui ont le même mal de vivre... Et nous ne faisons rien.

Catherine a dit…

Je viens de tomber là-dessus:
http://cousture.blogspot.com/2008/06/en-amour-avec-une-poupe.html
C'est vraiment moins sympathique que le film!