lundi 20 octobre 2008

Alice

Moi j'ai beaucoup aimé Alice Cooper hier à tout le monde en parle.
D'abord faut dire que j'aime les vrais. Les authentiques. Et mon flair me dit que ce rocker satanique en est un. Pas un satanique, un vrai.
Les vrais sont des...Euh, un genre comme Gerry Boulet était. Envers et contre les in et les out.
Du charme, de la conversation (vertu qui se perd) et gentillesse. Le Georges Clooney du heavy rock.
J'espère devenir une vraie en grandissant. En fait, j'espère devenir quelque chose parce que là je suis plutôt en train de dégénérer. Je dégénère en rien du tout. En zygote. Je n'enseigne plus, je survis.
Bonne nuit Alice. Je t'aime.

4 commentaires:

Le professeur masqué a dit…

Du courage, est-ce que cela s'envoie par Internet?

bibconfidences a dit…

Oui, je prends tout, même un ami

Anonyme a dit…

Des câlins et des bizous itou? En v'là plein!

Anonyme a dit…

Bibco,

c'est drôle, la musique d'Alice Cooper ne m'a jamais vraiment touchée ( et pourtant je suis une vieille rockeuse ), mais j'ai été étonnée de découvrir l'homme derrière le masque.

Mais c'est Jean Barbe que j'ai le plus aimé en entrevue. En tant qu'auteur, je l'ai découvert il y a deux ans, lorsque ma cousine Lina m'a offert le livre " Comment devenir un ange ", pour mon anniversaire. Coup de foudre littéraire absolu !

Cette année, j'ai eu un certificat cadeau, et je suis allée chercher "Le travail de l'huître", son dernier livre. Et je me permets de copier la citation du début, car elle correspond je crois avec l'esprit de ce que tu as écrit:

L'huître se referme longuement sur sa douleur:
Elle se cache et attend, au sein des profondeurs.
Nous sommes comme la chair et le sable incrusté:
Nous sommes ce qui blesse et ce qui est blessé.
Où tu vois la beauté, je ne vois qu'un massacre;
Nos vies sont misérables mais enveloppées de nacre.

Geoffroy de Malboeuf, La légende du siècle

Magnifique n'est-ce-pas? J'ai une reconnaissance éternelle envers ma cousine. Et pour les livres, qui nous aident à vivre le quotidien...