lundi 26 février 2007

Je ne suis plus croyante.


Que le film departed ai remporté l'oscar du meilleur film devant little miss Sunshine
ou the Queen ou Babel me laisse la mâchoire pendante.

Si on voulait faire un hommage à MS on aurait du le faire à part. Et laisser la vérité s'exprimer dans la catégorie des meilleurs films.

Franchement.......

samedi 24 février 2007

Idée


J'ai eu une idée cette nuit.
( Si vous me connaissiez, vous arrêteriez tout ce que vous êtes en train de faire drett là, vous souririez en vous prenant un siège, vous diriez probablement : " Oh boy" et vous vous attendriez au pire ).

Non, mais sans blague, c'est une bonne idée.

Si on redonnait Montréal aux familles? Essayez d'imaginer sans fermer les yeux ( non mais sinon comment allez-vous me lire ? ) Imaginez la rue St-Laurent qui devient piétonnière, remplie de boîtes à fleurs et de petits jeux d'eau. Des enfants, partout partout. Des tricycles, des poussettes. Des jeunes, des vieux. Des métros, des tranways, des stationnements qui deviennent des terrains verts; parc, terrains de baseball, patinoires, des pistes cyclables partout. Les enfants et leurs parents, des petits commerces, des jardins. Des condos avec assez de place pour des enfants.

Ce serait si simple. Il y a tous ces immeubles délabrés qui ne se vendent pas parce qu'on veut qu'ils rapportent un prix d'or. Toutes ces vieilles industries qui pourrissent tranquillement parce que le terrain vaut trop cher.

Et pendant ce temps les banlieues grugent les terres agricoles, les contracteurs rasent les arbres, les automobiles augmentent chaque jour.

Ce matin Foglia parle d'un vote romantique, moi j'en rêve.

Qu'est ce que ça va prendre pour qu'on arrête d'aller tout croche? Un dictateur? Des terroristes?

Je ne sais pas mais si on ne peut pas rien faire pour le monde, on pourrait peut-être commencer par Montréal.

En passant, à toutes les petites madames qui recyclent et qui en retire une satisfaction énorme, je vous lance un défi ; plus de teinture. Un polluant chimique de moins. Plus de teinture, plus de vernis à ongles, plus d'aérosol ou de produits coiffants. Défense de chialer contre les industries polluantes tant que vous utiliserez ces polluants esthétiques ok.

J'vous watch.

vendredi 23 février 2007


«Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire»
Je ne crois pas avoir jamais admiré quelqu'un autant qu'Albert Einstein.
Tant, que juste de vous l'avouer, c'est comme si l'on m'en dépossèdait un peu.
J'ai recopié toutes ses citations, j'ai regardé toutes ses photos.
Que n'aurais-je donné pour pouvoir le rencontrer, pour pouvoir plonger mes yeux dans les siens. Qu'y aurais-je vu?
Son regard me fascine, il transcende le papier glacé.
Je me demande parfois si Albert Einstein n'était pas un extra-terrestre venu nous exterminer pour finalement s'attacher à nous et à nos incohérences. Il serait resté quelque temps, aurait vite réalisé qu'il faudra encore beaucoup de karma à l'humanité avant d'accéder à la connaissance et serait finalement reparti un beau jour, son noyau atomique las de battre la cadence. Allez le lire, vous ne pourrez plus vous arrêter.

jeudi 22 février 2007

Ça fait du bien au coeur

De savoir que malgré tout ce qui va mal dans le monde ma fille de 15 ans vient de découvrir Jean Ferrat. Elle a entendu «c'est beau la vie» dans Virginie et s'est empressée de mettre la chanson dans ses favoris.
Présentement, ça joue en ce jeudi matin.
Je souris, parce qu'après tout elle me ressemble, parce qu'elle va continuer de grandir, de changer et d'embellir.
Je souris parce que c'est vrai que c'est beau la vie. Tout le monde le dit. Pourquoi alors si peu de gens ont envie de la protéger?

Parler de soi

Peut-on faire un blog et faire taire son ego? Réponses appréciées.

lundi 12 février 2007

Chutais vraiment plus capable...


À un point tel que j'ai même oublié de dire quels étaient ces deux mots que je ne pouvais plus entendre. Ni écrire faut croire. Je parlais «D'ACCOMMODEMENT RAISONNABLE» Fin de la discussion.

dimanche 11 février 2007

Chus pu capable

Hier j'en revenais pas, aujourd'hui, chus pu capable d'entendre ce mot. Ces deux mots.
Je suis écoeurée. Le monde se meurt, un ado s'est suicidé cette semaine dans la classe de mon fils, un continent meurt de faim, les hôpitaux n'ont plus une cenne. Je continue? C'était pas assez, fallait s'accrocher dans les franges de notre ceinture fléchée pour petter d'la broue.
Finalement, c'est peut-être une bonne chose que la planète nous rote comme un gaz nauséabond. Si c'est ça l'humanité, incapable de se voir comme un tout, moi je débarque et je gage que beaucoup de jeunes vont faire la même chose. Nous sommes des égocentriques de première voilà ce que nous sommes, mais ça l'air qu'on s'en accommode très bien puisqu'on en rajoute.

samedi 10 février 2007

Pardon pour la démotivation


J'espère que je n'ai pas interrompu des vocations naissantes à peine formées. Il semblerait que mon dernier billet ai eu un petit ton de " ne vous y frottez pas " face au merveilleux métier qu'est l'enseignement.
Pardon. J'ai mal agis J'ai mal agis
J'ai mal agis....
Je ne voulais que me plaindre.
En fait, l'enseignement c'est bien. Les enfants sont beaucoup trop bavards et le programme trop irréaliste, les parents parfois trop idéalistes et les écoles trop surchauffées mais bon, rien n'est parfait.
Mais le pire c'est de ne pas pouvoir en faire plus. D'arriver le soir chez soi et de s'en vouloir parce qu'on a manqué de temps pour tout voir, de ne pas avoir eu le temps de s'occuper individuellement des 24 enfants dont on a la charge, de ne pas avoir su leur faire tous comprendre le mécanisme des fractions ou la différence entre une préposition et un pronom.
De réaliser trop tard qu'on aurait du faire ceci ou cela.
L'impuissance est là trop souvent tapie au fond de nous. Et même si on se fait dire : " tu ne peux pas tous les sauver " elle nous grignote à petite bouchée.
Nous sommes tous fait pour l'enseignement, nous le faisons tous à différents niveaux, nous avons tous dans notre vie une personne, adulte ou enfant, à qui on peut transmettre quelque chose. À qui on peut tendre la main. Suffit de le vouloir, suffit de le faire.
Je trouve qu'on parle beaucoup et qu'on agit peu à cette époque où internet nous permet de rejoindre n'importe qui et n'importe quand.
Mais agissons-nous vraiment? Nous sommes légion à avoir une opinion sur tout, mais que faisons-nous pour changer ce que nous conspuons.
Les enfants ont leurs jeux vidéos, les adultes leur blog, les vieillards et les pauvres leur solitude.
Je ne sais plus trop comment changer les choses pour que le monde soit meilleur, mais si je trouve je vous le dirai, une fois que je l'aurai mis en pratique bien sûr.
En attendant je vais continuer d'enseigner, de distiller un peu de ce qui me semble juste, d'essayer d'améliorer les relations entre les enfants, entre les adultes, de façonner ces jeunes êtres afin qu'ils puissent apprendre la tolérance, le respect et le français. Les maths aussi ( j'aime pas les maths ) les arts et l'univers social ( un genre de cours d'histoire assaissonné de géographie ) l'anglais c'est pas mon domaine, it's a good thing.
Le reste on en parle un peu mais tout va tellement vite....
Je vais dire une énormité, (heureusement j'ai un tout petit lectorat) je ne crois plus tellement en notre système d'éducation.
Heureusement, nos classes ont encore des portes.

mercredi 7 février 2007

La semaine des enseignants


Je suis fatiguée. Difficile semaine et elle n'est pas finie. C'est la semaine des enseignants, le saviez-vous? Nous avons eu droit à des gâteries, musique dans le haut-parleur de l'école accompagnant un 15 minutes de lecture avec thé vert ( il y avait aussi du café mais le thé était mon choix ), on nous avait offert un journal....Ça promettait d'être relaxant mais après avoir passé 10 minutes à empêcher X de danser sur les choristes et Z de faire du lipsing en avant, mon thé était froid et ma presse éparpillée sur les tables. On m'avait laissé le cahier les affaires.
Bien sûr, dérangez l'horaire d'un élève de cinquième année et il en sera grandement perturbé pour la journée, tous les profs savent ça.
Le lendemain j'ai eu droit à une chanson sur le silence qu'on m'offrait généreusement sur demande. Naturellement, excités par leur performance artistique, ils n'ont jamais autant parlé dans toute une journée.
Aujourd'hui j'avais un cd de Jean-Pierre Ferland gravé par un gentil garçon mais j'ai pas pu l'écouter parce que les élèves parlaient trop fort.
Une belle carte a suivie dans l'après-midi offerte pendant que D pleurait à chaudes larmes parce qu'elle avait voulu écrire toute seule le nom des autres et les dits autres lui ont crié dessus. Après les 10 minutes pris pour régler le conflit j'ai commencé à lire la carte mais j'ai été rapidement interrompue par V qui m'a fait remarquer, appuyée par ses confrères et consoeurs en choeur, que S et J n'avaient pas signé. Curieuse, je leur ai demandé pourquoi; " C'est moi ou les profs en général?" ai-je demandé. Les deux m'ont-ils répondu.
Génial.
Je n'ai pas eu le temps de lire toute la carte parce que j'ai vu D qui revenait des toilettes l'oeil vitreux et le nez rouge.
-Qu'est ce qui s'est passé? ai-je demandé à la ronde.

-C s'est fait wedger. m'a-t-on répondu avec enthousiasme.

-C'est l'fun, ai-je dit, et ça vous fait rire?

Silence

-Parfait, vous allez me faire une compo sur le thème suivant « Pourquoi est-ce si drôle de voir quelqu'un se faire wedger? »

-Aieeeeeeeeeeeeeee! J'ai pas rit moi! de répondre 22 voix d'un parfait synchronisme. ( La voix manquante appartenait au wedgé).

Ils l'ont fait, on a eu une discussion profonde et qu'ils oublieront sans aucun doute dès maintenant mais bon, au moins j'ai fait ma job.

Bonne semaine des enseignants.

Saturnin


Vous rappelez-vous de Saturnin? Moi si, je trouvais ça d'une platitude .... Par contre j'aimais le thème musical. Quand je joue à " C'est la musique de quelle émission? " jeu auquel je suis championne, c'est mon arme secrète. Lorsque je la fredonne il est excessivement rare que quelqu'un s'en souvienne.
J'adore ce jeu. Premièrement ça pratique ma mémoire et ça étonne tout le monde puis ça les fait sourire et finalement tout le monde embarque.
Un gros hit c'est la musique des cités d'Or, on finit tous par la chanter.
Faites-vous une petite partie au travail aujourd'hui, vous verrez...
tatatataladaditadata tilamtadilidam.

mardi 6 février 2007

Gazette des pléiades


B13 du Centaure était jusqu'à ce jour une planète inconnue du système solaire, mais voilà qu'une chartre adoptée par le Grand Gardien du CQL'air à mis cette planète sur la carte stellaire!
Aucun accommodement raisonnable n'y sera toléré. B13 du Centaure nous donne comme exemple la planète terre victime récemment de son laxisme envers ses habitants les êtres humains qui n'ont cessé siècles après siècles d'imposer leurs us et coutumes ainsi que leur façon de vivre à Gaïa la bleue.
Disposant au début comme terre d'accueil d'un territoire enclâvé à l'intérieur de forêts et vallées, ceinturé par des cours d'eau purs, les êtres humains qui se sont fait appelés hommes, n'ont eu de cesse d'agrandir leur espace de vie pour y développer de nouveaux types d'habitations, de chasse et de culture.
Les premiers accommodements raisonnables ont pourtant été fort modestes; quelques coupes de bois pour se chauffer, quelques lopins de terre pour cultiver ce dont avait besoin le nouveau venu pour se nourrir....rien de très dérangeant pour Gaïa.
Mais dans les millénaires qui ont suivis, ces accommodements raisonnables sont devenus si fréquents et si nombreux que la planète en a été bouleversée.
Chaque fois qu'on leur demandait de requestionner leurs demandes les hommes répondaient qu'il s'agissait là de quelque chose de vital, d'une grande importance pour le développement de l'humanité. Et Gaïa d'accepter ce nouvel accommodement et puis d'opiner à celui-ci qui finissait comme les autres par avoir des conséquences désastreuses sur sa propre vie. Les fruits de la terre n'ont plus suffit et il a fallu à l'homme le pétrole extrait de ses entrailles par des milliers de blessures toutes plus profondes les unes que les autres. Des arbres ont été arrachés par légions dénudant le sol, l'exposant aux rayons du soleil toujours plus fort. Même la protection naturelle de l'atmosphère s'est trouvée mise à mal par les conséquences de nouvelles technologies. Chaque demande d'accommodements raisonnables de l'être humain visant à imposer son mode de vie aux autres êtres vivants de la planète a été désastreux pour ces derniers. Chaque jour d'autres races s'éteignent parce que leur propre mode de vie est maintenant incompatible avec celui de l'homme. Gaïa telle que nous l'avons connue n'existera plus et devra amorcer sa regénérescence cellulaire bientôt. C'est un procédé extrême auquel les planètes ne se soumettent que lorsque leur vie même est menacée mais cela permet à la vie de se développer à nouveau sur les terres stériles et un nouveau cycle peut alors être entrepris.
B13 du Centaure voulant éviter cette douleureuse épreuve à ses habitants a préféré prendre l'Horus par les cornes et exhorte le grand conseil des 10 vortex d'inviter tout nouvel arrivant à prendre connaissance de la chartre du Grand Gardien stipulant que sur B13 du Centaure l'homme est bienvenu mais qu'aucun accommodement raisonnable ne lui sera concédé. L'homme devra se plier à la façon de vivre des CQl'air qui vivent maintenant depuis plusieurs siècles sans guerre, sans automobile et sans polluant chimique d'aucune sorte.
Plusieurs autres petites planètes, craignant maintenant qu'avec le renouvellement cellulaire de Gaïa des êtres humains migrent vers leur galaxie, songent à imiter B13 du Centaure afin de décourager l'homme de s'installer chez eux.

dimanche 4 février 2007

Le labyrinthe de Pan


Loin de moi la prétention de devenir critique de cinéma mais je ne peux passer sous silence mon émotion face à ce film.
J'y suis allée cet après-midi. D'abord un plaisir anticipé incroyable, je savais que ce film je l'aimerais. Aimer comme coup de foudre, amour, attachement.
Je n'avais aucun doute sur la qualité de la photographie, de l'image, des décors, des acteurs et de la musique. Mais pour le reste, je l'espérais, fortement aiguillée par les quelques extraits que j'en avais vus.
J'avais raison, je me connais quand même un brin.
Mais je ne pouvais appréhender le choc brutal que certaines scènes me causeraient. ¸Un choc presque physique, douloureux, à la vue de ces images qui, nous le savons maintenant, ne font que refléter toute la brutalité et l'innommable que les guerres engendrent.
Je ne dirai rien de plus sur ce film dans l'espoir que vous le verrez vous aussi.
Mais je peux vous dévoiler sans gâcher votre plaisir ce que j'ai ressentis lorsque je me suis retrouvée hors de la salle dans la caverne aux lumières clignotantes du nouveau cinéma de Brossard.
J'étais comme ivre. Déboussolée, comme transportée dans un monde qui allait trop vite.
La seule pensée qui me venait en tête était celle-ci : Nous sommes en train de faire de nos enfants des êtres veules et avides de plaisir qui ne connaîtront jamais l'honneur. Qui ne connaîtront du mot sacrifice que la privation de leur jeu vidéo préféré pour une semaine, un mois tout au plus.
Qui aujourd'hui, à plus forte raison dans 10 ans sera prêt à se sacrifier pour la communauté?
Quel individu s'oubliera pour le groupe?
La recherche du plaisir nous domine tellement qu'en cette ère où les prophètes devenus environnementalistes nous prédisent avec plus de certitudes que jamais un Armageddon écologique, nous sommes incapables de faire marche arrière et faisons plus de cas d'un match de football que d'une course pour la survie.
Chacun son sport paraît-il.
Pourquoi le labyrinthe de Pan me rend-t-il aussi grave? Tout simplement parce qu'il traite du bien et du mal, des gens qui pendant le règne de Franco ont voulu une justice pour leur pays, qu'ils ont pris les armes avec peur et courage. Parce que le monde est ainsi fait d'ombre et de lumière.
Parce les gens simples sont ceux que j'admire, parce que je sais que de tels gens ont réellement existés. Parce qu'hier j'étais au centre Bell et qu'ayant entendu la radio quelques heures auparavant et lu la presse en ayant peur pour nos petits-enfants, pour tout ce qui vit et respire et que subitement je me sois retrouvée dans cette foule rouge et bleue hurlant de joie et vociférant leur rengaine go habs go m'a fait une impression fugace de profanation. Parce que je n'arrive plus à voguer dans ces sillons dichotomiques que sont les chemins de notre destin.
Le labyrinthe de Pan est à l'image de notre vie ici et maintenant; on s'y perd.

Autre chose

Qui m'inquiète...L'environnement étant ce qu'il est, les prédictions s'y rattachant semblant vouloir se réaliser, ne devrait-on pas faire un lien entre tous ces gens habitant au bord de l'eau qui risquent de devoir émigrer et les accommodements raisonnables?
Serait-ce raisonnable de prévoir une situation qui ne peut que devenir explosive si nous devons, nous et bien d'autres pays recevoir des milliers de réfugiés d'autres confessions, culture et langue?

samedi 3 février 2007

Et ben...

Je cite une madame entendu à la radio dans le cadre d'une assemblée publique à Hérouxville : " Nous ne voulons pas de ces choses comme la dilapidation ici ".
J'ai rien à ajouter.

jeudi 1 février 2007

Si je pouvais

Je quitterais l'enseignement, drett là. Demain matin. Pas à cause des enfants, à cause des parents.
Des parents qui croient qu'on a le contrôle sur 24 enfants quand ils ( "on", je suis aussi parent ) n'arrivent pas à avoir le contrôle sur le leur.
Des parents qui nous questionnent très franchement sur nos méthodes de gestion, qui ne font pas confiance, qui nous jugent sans arrêt.
Des parents qui croient que comme profs nous sommes payés 365 jours par année quand nous ne sommes payés que 200.
Des parents qui montent aux barricades si on est trop sévère avec leur enfant, qui remontent de l'autre coté si on ne fourni pas assez de belles feuilles photocopiées comme preuve de travail.
Moi aussi j'ai de la difficulté avec mes enfants parfois, j'suis pas parfaite, j'arrive pas toujours à les faire étudier et ça se peut qu'ils ne soient pas toujours polis ( surtout avec moi ), mais maudit, la classe de mon enfant c'est son prof qui la gère et, à moins d'une situation vraiment grave, j'irai pas me mettre le nez là-dedans.
Si je laisse l'école un jour, et croyez-moi, le si n'est pas questionnable au niveau de mes goûts mais plutôt au niveau monétaire, je le répète, ce sera à cause des parents qui faute de comprendre qu'on est tous dépassés par la vie qui va trop vite, essaient de mettre leurs manques sur le dos des profs. À tous ces parents qui sont si souvent prêts à juger les profs et à les critiquer je vous invite à venir passer une journée dans ma classe...une seule. Et ensuite vous pourrez vous excuser d'avoir douté.